Nos priorités
Etterbeek 2024-2030 sous la vision Ecolo-Groen, ça donne quoi ?
Pour chaque thème, vous trouverez nos propositions concrètes pensées pour Etterbeek et ses habitant.e.s. Pour le bien-être de chacun.e en tenant compte des spécificités de notre commune, du budget, de la faisabilité réelle.
Ceci est donc un condensé d’un programme plus complet, téléchargeable ici.
Bonne lecture !
Nous soutenons Caroline Joway, actuelle échevine de la mobilité et des travaux publics, en tant que candidate bourgmestre.
Une bourgmestre Ecolo-Groen c’est:
- se consacrer à 100% à Etterbeek et à ses habitant·e·s:
° en ne cumulant pas la fonction de Bourgmestre avec un autre travail/mandat
° en prévoyant des moments d’échanges hebdomadaires entre la Bourgmestre et les habitant·e·s
° en veillant à préserver un équilibre entre vie professionnelle et vie familiale
° en proposant un plan stratégique à l’horizon 2040 qui sera soumis à consultation populaire
- assurer la sécurité de tous et toutes partout et tout le temps:
° via un renforcement de la prévention : augmentation du nombre de gardiens de la paix, lutte contre le harcèlement scolaire, renfort des dispositifs de radars préventifs et répressifs afin de protéger les usagers faibles et lutter contre les excès de vitesse…
° en augmentant les effectifs des patrouilles de police à cheval et à vélo
° en augmentant la présence des inspecteurs de police de quartier sur le terrain
° en portant une attention particulière aux femmes, aux sans-abris et aux publics fragilisés
° en collaborant de manière effective avec les autorités régionales et fédérales dans la lutte contre la criminalité liée aux trafics de drogue tout en aidant les victimes
° en veillant à la tranquillité des habitant·e·s (nuisances sonores, trafic dense, chantiers…)
° en proposant, dans la mesure du possible, des travaux d’intérêt général (nettoyage, tri des déchets…) à la place des sanctions financières
° en déployant des caméras de surveillance pour détecter les incivilités liées à la propreté et à la sécurité routière tout en respectant la vie privée des gens
° en renforçant l’assistance aux victimes de violence conjugale, de harcèlement et de discrimination
- réaliser un audit pour améliorer le fonctionnement de l’administration et le bien-être des travailleurs communaux mais aussi en imposant une revue complète des budgets de fonctionnement et d’investissement (budget base zéro);
- dépolitiser le journal communal et permettre, par exemple, aux citoyen·ne·es et aux acteurs/trices économiques et associatifs d’y contribuer
- créer un rôle d’ombudsman communal et faire de la gestion des plaintes un outil d’amélioration continue des services publics communaux
Durant la prochaine mandature de six ans, nous investirons 28 millions d'EUR pour les bâtiments scolaires, les infrastructures sportives et la verdurisation de nos rues.
Ce ”plan d’investissement Etterbeek 2030”, ce sont
- 6 millions € pour les plantations d'arbres;
- 8 millions € pour les bâtiments et infrastructures sportives;
- 14 millions € pour les bâtiments scolaires.
Nous augmentons de 40% ainsi les investissements dans ces 3 domaines.
Pour les plantations d’arbres, nous mettrons en œuvre la stratégie de 300/30/3 qui implique de disposer d’un espace vert à 300m, de 30% du territoire de la commune couvert de vert et de 3 arbres à portée de vue de chez soi. L’investissement prévoit également de planter une Micro-forêt (Tiny Forest) ainsi que d’augmenter sensiblement le nombre de zones débitumées sur le territoire communal. Ces investissements permettront également de créer un maillage vert reliant chaque espace vert communal.
Le plan d’investissement assurera une modernisation du centre sportif (rue des Champs) et de la piscine communale. Cela permettra d’assurer que tous les bâtiments tendent vers le zéro carbone (ce qui permet un retour sur investissement). Ces investissements faciliteront la mise à disposition de certaines salles ou cours de récréation des écoles pour des activités sportives. Nous créerons des zones de sport dans l’espace public.
Enfin, 14 millions € seront consacrés à moderniser nos bâtiments et infrastructures scolaires (toilettes, chauffage, remplacement des châssis,...).
- adapter le tarif de la carte riverain.e à la taille et au poids de la voiture (afin que la pollution accrue que ce type de gabarit génère incombe à son propriétaire), avec une exception pour les utilitaires à usage professionnel
- augmenter le nombre de rues scolaires et les rendre pérennes en installant du mobilier urbain spécifique à celles-ci (barrières amovibles…) et dès que possible en aménagement la rue de manière apaisée afin de ne permettre que le passage de la circulation locale à tout moment
- créer des schémas de circulation afin de limiter et de maîtriser le trafic de transit (quartier Bernheim/Nouvelle/Léopoldville par exemple), en y développant un principe de "maille apaisée", soit un aiguillage clair vers les grandes axes de circulation en installant des dispositifs ralentisseurs (mobiliers urbains, rétrécissement de voirie, fosses d’arbres, ilôts de verdure), en mettant certaines rues à sens unique…
- mettre en place une piste cyclable marquée et/ou séparée afin de garantir la sécurité des cyclistes, prioritairement sur les voiries où le trafic est dense et par conséquent dangereux
- poursuivre l’installation d’arceaux et boxes vélos
- développer les activités réalisées à la Mahma (maison de la mobilité active): atelier de réparation participatif, fietsbib, bourse aux vélos, séances d’informations « lutte contre le vol »
- généraliser les aménagements de zone avancée cycliste (ZAC) à chaque feu, et empêcher définitivement stationnement illégal à moins de 5m d’un passage pour piétons
- appliquer le principe PVTV dans toutes les décisions en matière de mobilité et de réaménagement de l’espace public: donner la priorité aux usager·e·s dit·e·s faibles et donc les déplacements les moins polluants - (dans l’ordre) Piéton-Vélo-Transport en commun-Voiture
- prendre les mesures nécessaires pour que la mobilité soit inclusive: aménagement de l’espace public pour les PMR, les poussettes… et renforcer le sentiment de sécurité dans l’espace public en garantissant un éclairage public suffisant,…)
- mettre en oeuvre une stratégie de 300/30/3 qui implique de disposer d’un espace vert à 300m, de 30% du territoire de la commune couvert de vert et de 3 arbres à portée de vue de chez soi afin que tout Etterbeekois.e puisse voir de sa fenêtre de la verdure en plus de pouvoir trouver un parc ou un espace vert à distance de marche
- augmenter le nombre de zones de rencontre et de sport
- planter une " Micro-forêt (Tiny Forest )" à Etterbeek (ex : site des casernes, abords de la maison communale, …)
- imposer aux promoteurs immobiliers, à travers les charges d’urbanisme, le développement des espaces verts accessibles aux riverain·e·s (ex. : transformation de l’ancienne maison communale et des bâtiments ING (Cour St Michel))
- supprimer la publicité dans l’espace public et la remplacer par des projets de débitumisation
- imposer sur le site de l’ancienne Maison communale 20% de logements sociaux et 60% d’espaces ‘mixtes’ (logement, hôpital, crèche,…) avec un grand espace verdurisé ouvert sur le quartier et un espace récréatif
- réaménager des rues/places de la commune afin qu’elles soient plus conviviales et sécurisées en les verdurisant/piétonnisant (ex: chaussée de Wavre, Place Van Meyel, Aimé Dandoy)
- élargir les heures d’ouverture des parcs et jardins de la commune
- renforcer les sanctions visant à lutter contre les incivilités en matière de propreté
- esoutenir le développement des “repair cafés” (ateliers de réparation de vêtements, de machines,…) et autres initiatives locales visant la réparation et le réemploi des objets
- développer le Freego en le rendant pérenne et ouvert tous les jours
- engager des balayeurs/euses de rue, qui connaissent leur quartier et qui ont une fonction de lien social
- tendre vers une commune neutre sur le plan climatique d'ici 2050
- permettre aux Etterbeekois·e·s de faire mesurer, gratuitement, la consommation d'énergie de leurs habitations
- poursuivre le cadastre et le plan de décarbonisation des bâtiments communaux, en priorité pour les écoles et bâtiments ayant des fonctions sociales (en visant une diminution de 55% des émissions d’ici 2030)
- organiser pour les habitant·e·s le partage de l’électricité via les communautés d’énergie notamment avec les écoles ou les bâtiments publics
- Soutenir et développer nos projets d'agriculture urbaine et nos jardins participatifs en acquérant des terrains supplémentaires (SNCB/site des casernes/ abord de la maison communale)
- augmenter l’accès à l’eau potable dans les lieux publics via des fontaines
- assurer un pavage des trottoirs qui permette l’inflitration d’eau de pluie dans le sol
- intégrer des clauses environnementales et sociales strictes dans les cahiers des charges (marchés publics) et en assurer le suivi
- renforcer la mise en place des conseils de quartier en couvrant l’entièreté des quartiers et en augmentant le budget extraordinaire mis à leur disposition
- créer un comité d’évaluation citoyen de la mise en œuvre des priorités politiques définies de manière participative
- diffuser les conseils communaux en ligne (en direct et différé) afin de permettre à tous et toutes de pouvoir les suivre
- rendre publiques (open data) les données publiques des instances communales comme la localisation des équipements collectifs, les noms des rues, le catalogue des bibliothèques, le budget communal, les marchés publics conclus,...
- publier toutes les décisions communales afin d’assurer une gestion plus efficace et permettre un meilleur contrôle des institutions
- étendre le système de pop-ups store à disposition de commerçant·e·s désireux et désireuses de développer un projet innovant, manquant ou cohérent du point de vue de l'équilibre commercial et/ou attendu par la population
- rembourser le précompte immobilier des 3 premières années d'existence des entreprises afin de les soutenir financièrement
- soutenir les entreprises “exemplaires” d’un point de vue écologique et social par des aides à l’installation notamment
- proposer, pour chaque commerce qui le souhaite, un partenariat en termes d'aménagement urbain autour de son établissement : besoin de zone de livraison, visibilité de la façade, parking minute pour les commerces de gros,...
- subsidier le parking hors-voirie pour les véhicules utilitaires
- accompagner les entreprises dans leur transition écologique en finançant les arceaux à vélos dans des parkings hors voirie, l'achat de boxes à vélos et le prêt de vélos cargo pour des livraisons
- investir dans le noyau commercial de la chaussée de Wavre jouxtant la maison communale en y intégrant l’aspect mobilité (piétons et bus)
- pérenniser les terrasses de quartier développées en période Covid
- supprimer les taxes d’occupation de voirie (pour conteneur, stationnement, échafaudage ...) en cas de travaux de rénovation par un particulier de logement pour l’isoler et en moduler le montant en fonction de la raison de cette occupation
- continuer à favoriser, par des aides ciblées et substantielles (primes à la rénovation, à l’économie d’énergie et à l’isolation), les initiatives visant à la transition énergétique et qualitative du bâti etterbeekois.
- imposer, vu les gros projets qui pourraient impacter la commune dans les prochaines années – notamment, la démolition et la reconstruction de logements à la place de la Clinique du Parc Léopold et, potentiellement, des casernes de la Police Fédérale - la mixité des publics et des fonctions pour tout nouveau projet immobilier : un équilibre de logements privés, conventionnés et sociaux, combinés à des espaces professionnels, commerciaux et culturels.
- mettre en place un guichet unique au CPAS offrant un premier contact humain permettant de clarifier l’ensemble des aides auxquelles peuvent prétendre les bénéficiaires et lutter contre la fracture numérique
- revoir l’organisation de la coordination sociale locale afin de dynamiser le large réseau des 156 acteurs locaux présents à Etterbeek, centraliser l’offre de subsides disponibles, organiser leur collaboration en créant une “maison du réseau” et mieux soutenir les différents publics concernés grâce au développement d’un partenariat entre CPAS et tissu associatif
- établir une aide juridique gratuite de première ligne au sein du CPAS afin de donner un premier avis juridique et d’accompagner les démarches vers des opérateurs tiers
- repenser l’organisation des services du CPAS afin de mieux veiller au bien-être des travailleur·euses du centre et à la bonne collaboration des services dans l’intérêt des bénéficiaires
- prévoir un guichet dédié pour les personnes en situation irrégulière afin de simplifier l’accueil et le suivi tout au long de l’aide
- développer une campagne proactive d’information vulgarisée en plusieurs langues via différents supports afin de mieux faire connaître l’offre des aides et services existants
- ouvrir un numéro vert pour pouvoir signaler les situations d’isolement, de fragilité ou de perte d’autonomie
- permettre à toutes et tous d’évoluer avec les nouvelles technologies à son niveau pour réduire la fracture numérique et informer à l’utilisation des réseaux sociaux
- lutter contre la précarité menstruelle en assurant notamment un accès gratuit au matériel hygiénique dans les écoles et d’autres institutions publiques
- proposer à tous les enfants un repas sain, de qualité et abordable (gratuit pour les personnes recevant une allocation du CPAS), en primaire et maternelle, en privilégiant les circuits courts, les aliments issus de culture bio ou raisonnée, et une assiette moins carnée qui fait la part belle au végétal, en assurant a minima une option végétarienne
- garantir aux adolescent·e·s un espace public adapté à leurs besoins, avec des infrastructures qui permettent des moments de rencontre, de convivialité et de détente qui ne contrarient pas la tranquillité d’autrui
- mettre tous les enfants au maximum au contact de la nature et favoriser un environnement aéré et vert, en promouvant l'installation de potagers, arbres et arbustes dans les cours de récréation = poursuivre la verdurisation des cours d’écoles
- garantir aux Maisons des jeunes d’Etterbeek et aux mouvements de jeunesse les moyens suffisants pour répondre à leur affluence notamment en les subsidiant et en leur mettant à disposition des locaux et/ou des moyens de transport
- renforcer l’accompagnement dans les écoles de devoirs, en favorisant l’échange de savoirs et le suivi par les pairs
- augmenter le nombre d’activités extra-scolaires (dont l’apprentissage des langues), en période scolaire et extra-scolaire, en partenariat avec le monde associatif et mutualiser les activités extra-scolaires proposées dans toutes les écoles
- assurer à tous les enfants, pour lutter contre les inégalités alimentaires, un bol de soupe ou une collation saine (fruits) gratuit à 10h
- soutenir les actions de lutte contre le harcèlement scolaire
- faciliter et encadrer la mise à disposition de certaines salles ou cours de récréation des écoles pour des activités hors temps scolaire (brocante dans la cour, repas d’associations dans le réfectoire, activités d’associations ou de riverain·e·s dans la cour, etc.)
- installer des modules sportifs/gymnastique douce pour les aînés, adultes et jeunes dans l’espace public (barres de traction, vélos elliptiques, pédaliers près des bancs publics…) afin d’encourager la pratique sportive libre
- augmenter l’offre de terrains de sport dans la commune servant également d’espaces de rencontre pour jeunes
- regrouper au sein d’un seul échevinat de la culture l’ensemble des outils culturels francophones et néerlandophones
- refondre la politique de communication de la commune pour l'adapter aux évolutions technologiques et institutionnelles. Les sites internet, pages sur réseaux sociaux et journal communal (La Vie Etterbeekoise) seront intégrés et leur contenu sera ouvert aux comités de quartier, aux initiatives associatives, aux initiatives culturelles, aux politiques régionales qui ont trait à nos quartiers et à nos commerçants, entrepreneurs et artisans. Le journal communal sera transformé en "magazine de la vie locale"
- mener des animations dans le milieu scolaire pour lutter contre le sexisme, le racisme, l’homophobie et la transphobie en collaboration avec les associations et les organismes publics (UNIA)
- veiller à ce que les aîné·e·s soient inclus.es dans les réflexions de mobilité, avec une attention particulière à la qualité des trottoirs, la multiplication des points de repos et la disponibilité de transport en commun à proximité
- structurer dans la commune des réseaux de voisinage solidaire qui permettent de compléter le travail des acteurs du maintien à domicile en rendant de menus services tels que des visites ou des courses occasionnelles
- coordonner les outils de politique locale adressés aux aîné·e·s en rendant accessible un guichet spécifique (virtuel et non virtuel) où ils/elles puissent être accompagné·e·s dans l’accomplissement des procédures communales informatisées, voire qu’ils/elles puissent s’en acquitter sur format papier
- continuer à réduire l’impôt sur les revenus du travail pour renforcer l’équité fiscale
- réaliser un “tax shift” communal consistant à baisser la taxe additionnelle à l’Impôt des Personnes Physiques en compensant par les recettes provenant de la taxe additionnelle au précompte immobilier
- adapter, en collaborant avec l’administration régionale, Bruxelles Fiscalité, le revenu cadastral à l’évolution des biens immobiliers qui ont été rénovés et modernisés depuis la dernière fixation de ce revenu afin de mettre fin à une inégalité croissante des citoyen·ne·s face à l’impôt
- augmenter la taxe additionnelle au précompte immobilier si la révision du revenu cadastral n’est pas pu être réalisée par Bruxelles Fiscalité ou est insuffisante pour couvrir la baisse de l’IPP
- doubler la taxe pour les secondes résidences (à titre comparatif le montant de cette taxe est à Berchem-Sainte-Agathe 2X plus élevé qu’à Etterbeek)
- organiser des campagnes de sensibilisation et des formations pour les habitants (automobilistes, cyclistes, trottinettistes) et les écoles pour/à la sécurité routière, la conduite écologique, le « brevet du cycliste », la promotion du covoiturage, la mobilité douce et multimodale, les problèmes rencontrées par les personnes à mobilité
- sensibiliser les enfants et les jeunes à la question de l’égalité dans les écoles et les associations et veiller à les éduquer en dehors des stéréotypes de genre
- développer des campagnes d’information et de sensibilisation sur l’accès aux droits et services sociaux dans un langage accessible et en plusieurs langues
- organiser avec des associations des activités de sensibilisation au dérèglement climatique et autour de l’environnement
- pour lutter contre les incivilités, créer des espaces d'expression pour les arts urbains ou des infrastructures sportives en menant des campagnes d'information et de sensibilisation
- organiser des campagnes de sensibilisation pour informer les habitant·e·s sur l'importance de leur participation et sur les différents moyens de s'impliquer dans la vie communautaire
- organiser des campagnes de sensibilisation pour informer les habitant·e·s sur les enjeux liés à la production de déchets et les inciter à adopter des comportements plus durables.
- désigner un.e référent.e communal.e bien-être animal (BEA) afin qu'il ou elle puisse répondre aux questions des citoyen·ne·s
- veiller à ce que l'échevin.e en charge des espaces verts et de la biodiversité puisse également se charger de BEA
- offrir des aides - couvrant le puçage, la vaccination et la castration - pour l'accès à des soins vétérinaires pour les publics plus vulnérables (sous la forme de bons à dépenser chez un vétérinaire au choix ou sous la forme de visites gratuites ou à prix réduits chez le vétérinaire communal)
- développer des zones de liberté pour les chiens où ils peuvent se tenir sans laisse, sans impacter la biodiversité et sans déranger les autres usagers et usagères des espaces verts et y placer des parcours d’activité pour chiens
- inciter à la stérilisation des chats par une aide financière et/ou de la sensibilisation notamment à travers l’utilisation des subsides régionaux existants et/ou via un subside communal
- augmenter le nombre de canisites
- proposer des primes (ou en chèques vétérinaires) lors des adoptions en refuge ou un soutien “en nature” : cours de dressage, séances chez un comportementaliste, suivi vétérinaire à prix réduit, etc.